Le rock indé, c’est pas le Pérou.

Voilà, de retour en France, la musique va pouvoir reprendre ses droits sur ces pages après un intermède “Carnet de voyage” pas totalement complet, j’y reviendrais un peu plus tard avec quelques photos. J’ai écouté pas mal de bons trucs pendant ces 3 semaines en Amérique du sud, ô pas de la musique locale, j’ai pas encore viré “Manu Chao” je vous rassure. De toute façon le cliché du péruvien qui joue de la flûte de pan, c’est bon pour nous les européens et pour les usagers de la ligne 6 (station Charles de Gaulle Etoile). Musicalement, c’est comme ici, c’est la mode des années 80 sauf que nous on revisite le phénomène alors que eux le découvre. On entend donc partout du A-Ha, du Cindy Lauper, du INXS, du Indochine (Canary Bay)…Ca m’a rappelé l’époque du Top 50 avec Marc Toesca, que je regardais tous les soirs et que j’achetais dans sa version papier (de la presse musicale de haut vol). D’ailleurs Marc Toesca, si tu me lis (non ? tu as tort), le Pérou n’attends plus que toi pour présenter une émission du même style, ça ne dépareillera pas du tout avec le kitsch du reste des émissions péruviennes.