En traitant comme des bêtes les hommes (et les femmes) majeurs ou mineurs qui y sont enfermés, en laissant s’instaurer entre les détenus la loi du plus fort, la loi de la jungle, on transforme ces êtres humains – et je pèse mes mots - en bêtes ayant recours aux instincts les plus bas pour survivre dans cette jungle. La jungle n’est pas à Calais. Elle est dans nos prisons françaises. La honte de notre société dite évoluée. Que ceux qui trouvent que j’exagère s’intéressent de près à ce milieu et aux nombreux récits qu’il a suscités. Je conseille à cet égard la lecture sur le net du Journal d’un détenu mineur, Olivier Soz, dont le récit fait froid dans le dos. La réalité est toujours plus terrible que ce que l’on peut imaginer.
En traitant comme des bêtes les hommes (et les femmes) majeurs ou mineurs qui y sont enfermés, en laissant s’instaurer entre les détenus la loi du plus fort, la loi de la jungle, on transforme ces êtres humains – et je pèse mes mots - en bêtes ayant recours aux instincts les plus bas pour survivre dans cette jungle. La jungle n’est pas à Calais. Elle est dans nos prisons françaises. La honte de notre société dite évoluée. Que ceux qui trouvent que j’exagère s’intéressent de près à ce milieu et aux nombreux récits qu’il a suscités. Je conseille à cet égard la lecture sur le net du Journal d’un détenu mineur, Olivier Soz, dont le récit fait froid dans le dos. La réalité est toujours plus terrible que ce que l’on peut imaginer.