C’est un noeud - dit’il -
Il t’encrasse la langue
A t’empêcher de vomir la nausée qui t’étouffe
Un nœud
Pieds et poings liés et ton cœur si libre
Qu’il se tue à trop aimer
Un nœud qui te retient
Un nœud qui t’attire
De promesses anciennes
De douleurs qui s'essoufflent
Pour un rêve pourpre
Un nœud qui t’amarre à cette vie de dettes d’amour
De tellement et de trop d’amour
Il t’amarre et t’étouffe
Et jamais tu ne dis
Et jamais tu ne cries
Il m’a laissée avec mon nœud
Pieds et poings liés
Et le cœur écartelé de tant de liberté
Qui jamais ne le dis
Qu’il faillît en mourir…