Je me promène dans une quelconque librairie d’agitateurs de néant industriels. Je passe en revue les différentes épluchures de la rentrée littéraire. Tant de noms inconnus ; quelques noms mieux connus, dont journaux et magazines se repaissent. Je peux flâner là sans risque de dépenser mon argent ; c’est déjà ça.
Je prends un livre au hasard, lit quelques lignes de…