Bon ok, j’ai tendance à m’enthousiasmer assez rapidement pour les séries à potentiel. Il y a eu The Sarah Connor Chronicles. Dead. Dollhouse. Nearly Dead. Moonlight. Way Dead. Trust Me. Dead Dead Dead. Mais là, j’y crois dur comme fer, et je ne suis pas le seul. FlashForward va réussir à s’imposer comme une série culte en une saison.
Chronique d’une série à succès.
Théoriquement, je laisse deux, trois épisodes pour me faire un avis sur une série mais là, FlashForward a posé les premières pierres d’une série qui risque de marque l’histoire télévisuelle. OUI, carrément, comme ça, l’HISTOIRE TELEVISUELLE. Bon, ok, je m’enflamme un peu. Mais le series premiere était d’une qualité que l’on avait pas vu depuis bien longtemps. Autant que je m’en souvienne, le dernier series premiere qui m’avait autant marqué était celui de Lost. Ca tombe bien car c’est la même prod qui nous apporte FlashForward.
Le pitch. Le monde subit un blackout total de deux minutes je sais plus combien. Pendant ce blackout, les gens se voient 6 mois plus tard. Ils subissent un FlashForward.
Bon ok, comme ça, ça ne vous fait pas kiffer. Mais autant le crier Haut et Fort, la réalisateur est parfaite. Le scénario aussi. Et le jeu des acteurs est des plus pointus. On a envie d’en savoir plus, on a envie de regarder les épisodes suivants. On est addicts. Bim. Voilà, le mot est lâché. ADDICT.
FlashForward est donc une très très bonne série avec une campagne de communication innovante.
SERIES+BLOG APPROVED