Voilà une semaine, que je dois lui consacrer un billet mais si vous avez suivi l'actualité de ce blog, vous saurez que j'ai été un peu chahutée et j'ai du reste abandonné dans la bagarre un bel article sur les Journées du Patrimoine et ma visite à l'Hôtel de Beauvais, Rue François Miron.
C'est dans la foulée, que nous avons remonté la Rue de Rivoli pour nous rendre à pied, au Métro Rambuteau et dénicher la petite impasse Berthaud où se cache dans un écrin de verdure, une petite masure consacrée à toutes les poupées.
Des poupées de cire, de plâtre, des baigneurs en celluloïd, les poupées Bella de mon enfance, des ours mal léchés dans leur péluche mitée mais tellement attendrissants...
Et dans une pièce, à l'abri d'un simple voilage, les vitrines consacrées à la star du moment, Barbie et tout son univers. Il est amusant de constater que Barbie années 60 est moins démodée ou ringarde que celle disco des années 80 avec sa guitare et ses tenues d'aérobic à la "Véronique et Davina".... Et que Ken était beau dans son petit costume bleu marine et sa raie sur le côtés. Oui, les modes ont bien changé.
Skippie était là, elle aussi, le caniche et tous les accessoires. Barbie en maîtresse d'école, Barbie en infirmière et une rétrospective de toutes ses robes de mariée - photo ratée - Que de souvenirs pour ma fille comme pour moi, mais pas à la même époque, bien entendu. Que de ha et de ho entendus derrière nous. Barbie continue à nous émerveiller et à nous faire rêver. C'est bon signe dans ce monde peuplé de vidéos et de jeux électroniques... Barbie reste sereine et intemporelle.
Mon billet, certes, arrive un peu tard car l'exposition fermait ses portes dimanche dernier mais elle sera sans doute renouvellée. La suivante à laquelle je suis conviée à prix modéré est celle des Maisons de Poupées. Pas mal non plus...
Ce billet est aussi un petit cadeau pour la petite Violette de Virginie...