Si nos dirigeants politique étaient des clubs de foot… ça donnerait ça :
Nicolas Sarkozy alias l’Olympique Lyonnais :
- Une domination sans partage depuis quelques années peu ou pas contestée.
- Un controle de l’entourage, médias pour l’un, instances et arbitres pour l’autre.
- Des difficultés à s’imposer sur la scène européenne.
Il est petit, teigneux, aime avoir beaucoup d'argent et Wenger le regarde d'un air attendri... et non ce n'est pas Arshavin !
Ségolène Royal alias l’Ajax d’Amsterdam :
- A connu son heure de gloire.
- Bien que populaire, des difficultés à s’imposer dans son propre camp.
- Aime bien les jeunes.
François Bayrou alias les Girondins de Bordeaux :
- Pas vraiment d’engouement populaire mais personne ne les déteste.
- Un côté lisse, plat… centriste en somme.
- Le sud-ouest.
Olivier Besancenot alias le Rubin Kazan :
- Une facheuse envie d’europe de l’est.
- Un coté David contre Goliath, soit face au MEDEF soit face aux clubs de Moscou.
- Le rouge.
Brice Hortefeux alias la Lazio Rome :
- Une haine farouche de tout ce qui ressemble de près ou de loin à un auvergnat.
- Hormis dans leur propre camp, tout le monde les déteste.
- Condamnés à rester dans l’ombre des leaders de leur parti/championnat.
Bernard Kouchner alias le FC Nantes Atlantique :
- Il y a une dizaine d’années tout le monde les aimait bien.
- Maintenant ils font pitié…