L'épreuve de Littérature des Jeux de la Francophonie s'est déroulée à Beyrouth au sein de l'Université Saint-Joseph. Dans un amphithéâtre peu rempli, le jury a pu écouter dix-sept productions.
Si la lecture par l'auteur n'était pas obligatoire, on a pu sentir clairement une différence de poids quand c'était un interprète qui lisait le texte et quand c'était l'auteur lui-même qui prononçait son texte. Celui d'une toute jeune Libanaise, âgée de 13 ans, a suscité l'émoi du public comme du jury, avec pour sujet les droits de l'enfant.
Il faudra encore attendre jusqu'à samedi prochain pour avoir les résultats de ce concours et savoir qui des dix-sept candidats obtiendra une médaille en littérature. Toutefois, Valérie Baran, membre du jury, soulève un problème de taille : « la sélection est faite par des Etats et non par des professionnels »