Ce monument a été créé en 1993 et fait maintenant parti des premiers lieux de la mémoire européenne, au même titre que le Mémorial de Caen ou Auschwitz.
L'ambassadeur de France en Roumanie a déclaré à la poétesse : « Vous l'avez voulu [le mémorial] pour rendre justice par la connaissance des faits, par cette mémoire que vous replacez inlassablement au coeur du débat public » et a salué sa « lutte incessante pour la justice », insistant sur sa « place dans la culture européenne ».
Ana Blandiana, a pour sa part, assuré que cette médaille était « un hommage aux êtres incarcérés, torturés et persécutés pour leurs idées ». Le mois de décembre verra la Roumanie fêter les 20 ans de la fin du régime communiste.