Valérie Pécresse vient de dévoiler le budget 2010 de l’enseignement supérieur et de la recherche. Les chiffres diffusés sont un leurre, que j’ai déjà dénoncés sur ce blog. La réalité de l’état des universités et des laboratoires, ainsi que la montée en puissance de la précarité chez les chercheurs, s’imposent malheureusement. Les artifices utilisés par le gouvernement ne peuvent tromper ceux qui au quotidien sont confrontés à une réalité pénible et laborieuse.
Le Parti Socialiste propose un changement de cap, qui passe par des orientations politiques différentes, et par conséquent par une utilisation très différente de l’argent public.