Ah cette amérique décadente avec ces lolitas en pagaille qui paraissent tellement plus âgées et qui encouragent la pédophilie, mais il y a tromperie sur la marchandise, les cineastes vont finir par porter plainte contre les mineures à la sortie des écoles à force de vouloir ressembler aux femmes adultes.
Rien que dans le film “Little Miss Sunshine” la caricature de ces enfants Barbie de 6 à 12 ans, déguisées, maquillées, manucurées en poupée malsaines et faussement innocentes de conte Disney, avec broching et petite robe couleur de princesses, de véritables caricatures de la femme modèle américaine, et mais il ne s’agit que d’enfants, c’est dire le niveau de perversion de nombre d’habitants de ce pays et l’hypocrisie religieuse des memes acteurs de ces manifestations et concours.
Cela excuse-t-il Monsieur Polanski ? Non bien sûr, c’est juste une appartée.
Un homme de 40 ans a, en règle générale, la maturité et l’intelligence de refuser un acte sexuel avec une mineure, mais s’il en est incapable, c’est qu’il sagit d’un pervers qui se rend coupable d’une infraction punie par le code civile autant en France par dans la loi Américaine.
Il est coupable d’attentat à la pudeur, de délit de fuite et de je ne sais quoi encore, mais il est coupable, et il le sait.
Tout homme religieux ou pieu, est capable de considerer une jeune fille comme une enfant, et si c’est celle de son voisin, c’est également la sienne, mais elle reste une enfant et pas un objet de convoitise sexuelle, vous me direz que M. Polanski ne peut pas être religieux en ayant commis pareil acte, n’est-ce pas ? N’est-ce pas ? Je vous trouve bien silencieux.
Ah oui c’est vrai tous ces members du clergé dont le secret reste inviolable et qui, pendant des centaines d’années ont assouvi leur pulsion sexuelle sur des jeunes garcons dans le secret habitacle d’un confessional ou d’un bureau, forçant les gamins contre un bounty et un mars à commettre des actes contre nature et même punis par Dieu! Mais dieu n’était-il pas d’accord, c’est ce que croyaient les enfants avant d’être frappé par la conscience.
Ainsi, ce qui est le plus choquant dans cette histoire, ce sont les noms qui s’associent à la défense de Roman Polanski, qui n’ignorait nullement avoir commis un crime et être responsable d’avoir fui la justice américaine, au point de choisir avec soin Durant 30 ans, les pays ayant signé une convention d’extradition avec les USA. Avoir fui la justice californienne, ce en quoi tout homme intelligent aurait fait la meme chose pour éviter de rester 50 ans enfermé derrière les barreaux. Mais ne dit-on pas boire ou conduire il faut choisir ?
Et bien violer ou pas, abuser ou pas d’une mineure, il faut choisir et il a choisi, donc il doit payer, comme les autres, c’est ça la Démocratie, n’en déplaise à nos ministres et à nos artistes de cinema.
J’aimerais bien que les ministres et les artistes mettent plus de zèle à faire libérer des jeunes femmes innoncentes piégées par des trafiquants de drogue et enfermées à vie dans les geoles sordides des pays étrangers, des victimes qui n’ont aucun appui et aucun pouvoir de se defendre ni d’être entendue, au lieu de se consacrer à un homme de 70 ans qui a son passé dans le dos et qui est malgré tout, coupable, tout cineaste qu’il soit.
Ainsi, entre la belle Monica Bellucci, Isabelle Adjiani, Costa-Gavras, Wong Kar-Wai, Fanny Ardant, Ettore Scola, Marco Bellocchio, Giuseppe Tornatore, Abderrahmane Sissako, Tony Gatlif, Pierre Jolivet, Jean-Jacques Beineix, Paolo Sorrentino, Michele Placido, Barbet Schroeder, Gilles Jacob, Bertrand Tavernier et Costa-gavras et tant d’aures qui réclamment sa liberation, je me dois de rappeler à Costa-Gavras, le grand pourfendueur du mensoge avec “Z”, “MusicBox”, qu’il se trompe de combat, car M. Polanski lui-même se savait coupable depuis trente ans, alors si les intellectuels et les artistes se mettent à present à defendre les coupables, où va t-on, je vous le demande ?
Toutes les fautes peuvent donc être excusées, pardonnées, même les pires ?
De toute façon, juridiquement tous les signataires et sympathisants ont malheureusement tors, et la loi est du côté de la justice, alors qu’ils cessent de nous enquiquiner avec cette hsitoire qui masque la fôret de difficulltés que les français éprouvent en ce moment, le chiffre du chômage s’affiche sans pudeur comme un des plus élevé jamais atteint, et je me soucierais d’avantage des personnes qui souffrent plutôt que d’un cineaste qui est loin d’être dans le besoin.
Revenons aux valeurs humaines et à la vérité, plutôt que de nous soucier de cette histoire ridicule qui lui pendait au nez depuis trente ans.
Nous vivons une époque formidable…