Vaccination H1N1 - méfiance des infirmières
face aux risques de scléroses en plaques !
Le syndicat des infirmières SNPI CFE-CGC estime qu’une vaccination contre un virus grippal relativement bénin présente des risques du fait d’un vaccin développé trop rapidement et d’un adjuvant susceptible de déclencher des maladies auto-immunes… autrement dit des Syndromes de Guillain-Barré et des Scléroses En Plaques !
Comme leurs collègues infirmières de Grande-Bretagne et de Hong Kong, les infirmières françaises craignent que le remède soit pire que le mal, et pensent qu’il faut savoir “raison garder”. La pandémie peut causer une crise économique, et l’Etat s’est très bien organisé pour y faire face. “Mais injecter 94 millions de doses d’un produit sur lequel nous n’avons aucun recul peut poser un problème de santé publique, et il est de notre devoir d’infirmières d’informer correctement la population pour que chacun prenne sa décision en toute connaissance de cause, par un consentement libre et éclairé, et non par une campagne de publicité et des discours alarmistes”, souligne Thierry Amouroux, le secrétaire général du SNPI, le Syndicat national des professionnels infirmiers.
Les décès lors d’une grippe saisonnière sont généralement liés à des décompensations de pathologies chroniques et à des surinfections bactériennes. Or, rien ne permet d’affirmer aujourd’hui que ces complications indirectes seront plus fréquentes avec la grippe A (H1N1). P. PICARD
Si le personnel hospitalier fait bloc, ça sera un très bon “bouclier” pour le reste de la population… Mais jusqu’où est-il prêt à aller ?
CHACUN D’ENTRE NOUS A DONC UNE DOUBLE RESPONSABILITÉ !
VISIONNER JUSQU’AU BOUT LE FILM DE JANE BURGERMEISTER.