"Sans jamais avoir mis les pieds en Irak, ni en afghanistan, TERREUR GRAPHIQUE a connu l'enfer du bourbier, a fourré son nez là où il n'aurait jamais dû... le festival électro SCOPITONE à Nantes. Constat d'échec personnel face aux lacunes de sa propre culture musicale. Désastreux voyage au pays du Laptop."