Sous le titre "Le divorce ou la guerre des nerfs", un article du 24 septembre publié sur le site "L'Express.fr" explique comment la simplification du divorce, instaurée en 2005, est loin d'avoir apaisé les tensions, pas plus que la crise économique actuelle. Si les procédures de divorce pour faute (dont l'adultère) ne représentent plus qu'une affaire sur six contre une sur quatre il y a quelques années, tous les moyens sont bons pour d'un côté, réclamer le maximum d'argent et de l'autre, en donner le moins possible, ce qui entraîne un recours accru aux détectives privés...