Bon, dans une démocratie, que les journaliste lèchent les godasses de ceux qui ont le pouvoir, ce n’est pas catastrophique pour ceux qui luttent contre ce pouvoir.
Il n’en ai pas de même dans les dictatures ou ce qui ressemble à des dictatures.
Des isolés comme Anna Politkovskaïa ou Hollman Morris en font ou en ont fait l’expérience. C’est ce que nous explique Jean-Claude Guillebaud dans le TéléObs du 13 août 2009, page 82:
"Le (vrai) prix de la liberté"
Extrait :
« Anna ne fut ni aimée ni soutenue par ses confrères »