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Un épisode qui s’attaque frontalement aux évènements passés, à savoir : la rupture entre Ari et Lloyd, qui promet un affrontement dévastateur, Eric et sa copine paranoïaque, Drama et ses problèmes de carrière, et Turtle et son adoratrice de slip qui se transforme peu à peu en triangle amoureux.
Et Vince dans tout ça ? Juste 2 ou 3 répliques par-ci par-là, il est le grand faire valoir de cette saison, les scénaristes ne daignant même pas s’intéresser à lui. Alors oui, ça ruine un peu le concept du show, mais ça n’en demeure pas moins plaisant à suivre, surtout que la storyline assez pauvre concernant les amours d’Eric s’avère (pour l’instant) enfin terminée.
Le gros morceau de l’épisode concerne une nouvelle fois Ari et Lloyd, avec cette fois Johnny pris en plein milieu, dans une joute orale et de bâtons dans les roues franchement enthousiasmante, et encore une fois l’occasion de profiter d’un très grand show signé Ari Gold (« You’re dead, dead, DEAD ! »).
Les auteurs semblent boucler leurs intrigues, on s’interroge une nouvelle fois de l’avenir de Drama (qui se détache comme personnage principal de la saison), et l’on se prépare à laisser notre bande de potes préférée (qu’importe la qualité des intrigues de l’année) jusqu’à la fin de l’été prochain.
Ca va être dur, très dur.
Heureusement que la relève des shows cools et joliment sexuésarrive avec la rentrée de Californication.
Hank Moody, tu es notre sauveur.