Pierre Falardeau est mort. Grosse nouvelle. Triste surtout. Ce vieux nationaleux était capable de brasser habilement ce qu’il faut, les émotions comme les idées, pour faire avancer sa vision d’un Québec. Subtilement ou violement, c’est selon. Il nous aura donné des moments de jouissance comme spectateur, pensons simplement Au temps des bouffons ou au jeune Paul qui bouffe du PFK dans Pea soup. C’est une grande perte. Une grande tristesse.