C’est ainsi qu’on caractérisait la musique peu classable de JJ Cale, qui enregistre son premier album sous son nom en 1972. Wikipedia note: “Il est connu pour sa simplicité et son accessibilité et l’on prétend pouvoir encore le rencontrer jouant seul au fond d’un bar “paumé”, accompagné seulement de sa guitare”. C’est un grand dont on parle moins en Europe ces dernières années, et c’est dommage. De très nombreux artistes: E. Clapton, Santana, Freddy King, John Mayall, Chet Atkins,…, ont repris ses compositions.
Un de ses derniers albums (2006), “The Road to Escondido” est enregistré avec E. Clapton.
Le voici, avec une de ses toutes premières créations: “After Midnight” (1965), que je trouve profondément mélancolique malgré son rytme entraînant, ici dans une version avec un superbe solo de guitare d’Eric Clapton (encore).
Bon Dimanche.
- Modèles de consommation alimentaire. Libération.
- Lou ravi de Pittsburgh. Libération.
- Encore sur la taxe carbone, pour y voir plus clair. Actu-Environnement.
- Loi sur les retouches (photographiques). Affordance Info.
- Nanité. Chez Hervé.
- “La France peut s’attendre à un impact globalement négatif du changement climatique, avec des coûts supérieurs à plusieurs centaines de millions d’euros par an dans les secteurs économiques qui n’auront pas pris des mesures d’adaptation suffisantes”. Le Monde.