Le Bloc Québecois devrait présenter aujourd’hui un projet de loi visant à éliminer le droit de libération conditionnelle au sixième de leur peine pour les personnes reconnues coupables de crimes économique. Dans un contexte préélectoral, j’espère fortement que les partis politiques ne feront pas mourir ce projet de loi avant son adoption par le déclenchement d’élections. Les autres partis pourront toujours trouver des failles à ce projet de loi; que ces failles soient légitimes ou que l’on en trouve tout simplement qu’on s’y oppose par opportunisme politique n’y aurait rien d’étonnant. Je ne connais aucune loi parfaite. Je serai aussi déçu, quoique pas surpris, si les autres partis amenaient ce dossier dans leur plateforme électorale cet automne, par simple opportunité politique. Je n’ai pas eu la chance d’analyser ce projet de loi. Je ne peux donc me prononcer sur ses forces et faiblesses. Par contre, si ce projet a pour effet immédiat de corriger une iniquité flagrante du système (système où le fraudeur peut retrouver la liberté alors que ses victimes sont encore à essayer de refaire leur patrimoine), les parlementaires ont une obligation morale et sociale d’analyser ce projet sans partisanerie. Ne serait-ce que par solidarité pour les victimes de Lacroix, Jones et compagnie.
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