Sinistre personnage, rat politique incarné, le repoussant Ahmadinejad
Quant au Kadhafi il vient se répandre, avec un A, et non se rependre comme pourrait le laisser croire sa tronche difforme, dans un des parcs du richissime Trump. Il confirme son sens aigu de l’humour lorsqu’il fait la morale aux nations du Conseil de Sécurité sur le non respect de la Charte de l’ONU alors que sa carrière politique a fleuri sur les torchages sans retenue avec les principes premiers de la civilisation humaine.
Et les banquiers ? Vont bien, vraiment bien : ils prêtent avec de juteux taux d’intérêt un argent qui ne leur a quasiment rien coûté grâce des emprunts très bon marché effectués auprès des… Etats salvateurs. Vive la crise !
Qu’on les rapproche pour qu’ils s’entredévorent. Après La princesse et le président du déclinant VGE qui s’autorise une dernière gâterie littéraire, nous aurions droit à La Royal et le président… du Modem, plus une romance à l’eau de rose, mais une pitance à l’eau de boudin…
N’oublions pas l’ineffable de Villepin qui s’érige comme le martyre de la République sarkozyenne : ses effets de manche et de mèches risquent fort de se dégonfler dans l’enceinte austère et technicienne du tribunal correctionnel. Procès politique dénonce-t-il… comme s’il ne pouvait assumer le simple volet judiciaire… Son J’accuse l’acharnement de Sarkozy ressemble davantage à un J’esquive les basses questions qui portent sur le fond de l’affaire. Le grand de Villepin ne peut se courber pour atteindre ce méprisable degré des débats. A hauteur
Le teigneux petit homme s’est efforcé de tenir son calme lors de son dernier entretien télévisé. Mais, à l’évocation du procès Clearstream, l’avocat de formation et de sa propre cause n’a pu s’empêcher de désigner les accusés comme des « coupables ». Le dérapage d’un bouillonnement intérieur, comme un saut à la gorge des malfaisants. Son devoir d’être le garant de l’indépendance judiciaire se plie donc à ses impératifs personnels.
Où qu’on se tourne, l’horizon s’anime d’écoeurants repaires.