S'il n'envisage pas de réformer la loi Debré (dont on va fêter cette année les cinquante ans) qui cadre les rapports entre l'État et les établissements d'enseignement privé, il souhaite développer des « partenariats » sur des « projets éducatifs ». Et de rappeler : « Nous devons travailler avec tous nos partenaires car un élève sur cinq est dans l'enseignement privé ».
Pour rappel, la loi Debré permet des contrats d'association entre l'État et les établissements d'enseignement privés. Ceux-ci doivent s'engager à respecter les programmes mais aussi les horaires nationaux et avoir des enseignants dûment diplômés, en échange de quoi l'État prend en charge leurs salaires.