Vous connaissez certainement Actualitte.com. Si ce n’est pas le cas, allez y faire un tour et revenez lire la suite. Ah, si vous ne savez pas où plonger, car le site est riche, allez donc dans cette rubrique toute récente :
Je trouve cette idée très sympa : une soirée culturelle qui permettra de faire découvrir en même temps un vin et un livre. Pour lancer l’idée, en cette rentrée, Nicolas Gary, le rédacteur en chef, a pensé à mon dernier roman, « Le film va faire un malheur ». Il est vrai que le héros, Alexis, y boit beaucoup. L’autre héros, Sammy, ne boit pas du tout. J’ai fait exprès, dans une démarche pédagogique, pour montrer aux enfants ce qui arrive quand on boit trop. Vous avez des enfants, faites-leur lire ce roman, ça leur fera du bien. Proposez-en la lecture à l’école. Remarquez, ça finit mal aussi quand on ne boit pas. Ça aussi, c’est pédagogique. Les professeurs expliqueront, je compte sur eux. Quel que soit leur état. J'ai eu, au collège, un prof de géographie qui arrivait toujours en classe dans un état d'ébriété avancé. Je n'ai jamais été si bon en géo que cette année-là. Comme quoi, hein, ça n'empêche pas ! On devrait obliger tous les mauvais profs à boire. Excusez-moi, je m’éloigne du sujet.
Bref, si vous êtes bordelais et si vous ne dédaignez pas les vins un peu plus à l’ouest, allez vous cultiver à cette soirée organisée par la rédaction de
ActuaLitté et les cavistes de L'oenolimit : cela se passera le 26 septembre 2009 à partir de 19 h 30, place Fernand
Lafargue.
Tous les détails sont donnés ici :
On lira des extraits du roman, on boira du Beringer Stone Cellars, un excellent Cabernet Sauvignon californien. Le Beringer, on le boira avec les explications de l’oenologue. Le roman, on en boira des extraits (c’est moi qui les ai choisis) lus et commentés par Nicolas Gary - un critique qui a excellemment analysé ce roman. Ne recrachez pas après avoir goûté (le roman), il n'y a que les oenologues qui ont le droit de faire ça.
Je n’y serai pas, car Bordeaux est un peu loin pour un aller et retour à vélo. Mais allez-y et revenez nous raconter
comment vous avez trouvé le vin. Vous pouvez aussi indiquer comment vous avez trouvé le roman, mais seulement pour en chanter les louanges, car, ces temps-ci, j’ai du mal à écrire, j’ai besoin
d’être stimulé.
Si vous n'y allez pas, racontez quand même. Ça fera travailler votre imagnation.
Ce billet est très mal écrit, mal construit. Vous allez croire que j’ai bu. Je fais exprès, là encore : pédagogique, je vous dis.
J'allais oublier : Sachez
apprécier et consommer avec modération. J’ajoute cela pour rassurer les vigilants maîtres à penser qui pensent qu’on reformatera le bon peuple à
force de lui seriner des motets qu’ils sont les seuls à entendre.