Les membres de la rédaction déclarent avoir « appris avec stupéfaction, en l'espace de 48 heures, que le prochain numéro, auquel ils travaillaient, ne sortirait pas » et sont « profondément attristés de la disparition d'un titre aussi emblématique ».
Selon la rédaction, les effets de cette disparition « risquent de causer un vrai préjudice au monde de la chanson francophone ». L'incompréhension règne aussi dans les bureaux car le magazine était selon sa rédaction « dans une situation économique saine ».
Nicolas Marc, le dirigeant de Millénaire Presse déclare : « Faire vivre, avec un mode d'organisation professionnel, une publication comme Chorus avec moins de 2.000 ventes en kiosques, 3.300 abonnés et de faibles ressources publicitaires s'est avéré impossible ».