J'ai attrapé un coup de soleil. Ça ne vous rappelle pas une chanson ? Mais si, le gars à la voix éraillée ! Spéciale dédicace à Faustine, qui prétend que cette chanson rend amoureuse. Personnellement, je n'ai jamais cessé de l'être, mais ça, c'est une autre affaire… Si vous avez une chanson qui rend indifférente, teigneuse et dragueuse, je suis carrément preneuse !
Hier, c'était un coup de sommeil. J'ai assommé mon réveil quand il a sonné… et j'ai émergé à 9 h 50. Pas de billet pour le blog, du retard dans mon travail, des visites plaisantes…, j'ai fait ma grosse feignasse, c'est mal. Et c'est pas la météo qui va m'aider. Ce midi, Faustine m'a invitée à prendre un café en terrasse du Tourangeau, où l'ennemie ne s'affiche plus. C'est là que j'ai attrapé un (léger) coup de soleil. La prochaine fois, s'il y a de l'orage, qui sait, j'attraperai peut-être un coup de foudre ? On contemplait la vitrine de la chapellerie Brun (une irrésistible boutique qui grince où j'ai acheté mes nouvelles mitaines, hier) en se disant que les mannequins étaient bien les seuls à être emmitouflés de bonnets et d'écharpes en laine. Une chance, dans le bouquin sur lequel je travaille actuellement, j'écris sur la mer, les vagues… Ça me rafraîchit avant mon escapade à New York, la semaine prochaine.
En attendant Manhattan et Central Park, ce soir, c'est qi gong sur l'île Simon avec ma petite troupe de gorilles ("King Kong sur l'île Simon", dixit Pierre-O, qui est d'humeur badine, aujourd'hui), puis dîner chez Sophie. On va encore profiter du jardin… et de ses bons vins.
Photo : Coup de soleil sur une grappe de pineau d'Aunis, THE cépage d'X Noir. En parlant de grappe, je me suis acheté un succulent muscat des Baronnies au marché, ce matin. Rien que pour ma cure de raisin, je bénis le mois de septembre !