Aujourd'hui, et après trois jours de buzz qui auront au moins servi à faire oublier les mémoires de Chirac (intentionnellement ?) VGE lève le voile, si l'on peut dire, sur son livre. « C'est un roman dont la princesse Diana est le personnage principal. » Ouais, ça, on savait.
Selon lui, la dédicace affirmant que la promesse était tenue, ne visait qu'à rendre hommage, VGE ayant promis de rédiger « les histoires d'amour entre les dirigeants de grands pays ». Et cela prit la forme de La Princesse et le Président, qui doit paraître début octobre.
Rien de trop fantasmé non plus, que du romancé, puisque le président avoue avoir connu la princesse « dans un climat de relation confiante ». Cette dernière avait besoin de parler, VGE tendit l'oreille : « Ses sentiments profonds, c'étaient la déception et le besoin d'être aimé. »
La presse anglaise, qui avait flairé le pot au rose, estimait bien que tout cela relevait du canular. Les fantasmes rêvés ou sublimés d'un académicien, apprendra-t-on dans Le Point à paraître demain. « J'ai essayé de la faire revivre, telle qu'elle apparaissait quand on la rencontrait (...) J'ai inventé les faits, mais pas les lieux ni les décors, que j'essaie de peindre avec une écriture très visuelle. »
On peut rire de tout... Maintenant, c'est certain.
Mais avec qui ?