La saison estivale du clubbing vient de démarrer pour le grand plaisir des adeptes des nuits blanches et de la musique électronique. Cette année, comme celles qui ont précédé, les jeunes des grandes villes côtières vont se bousculer aux portes des discothèques réputées et autres bars antres des soirées branchées. Il y a, à peine une quinzaine d’années, seule une frange triée sur le volet de la société fréquentait ce genre d’endroits, aujourd’hui, le clubbing s’est vulgarisé. Des endroits qui ne ressemblent en rien à ceux que l’on côtoyait autrefois. D’abord en quantité, mais aussi en qualité. La Tunisie compte aujourd’hui beaucoup plus d’endroits où sortir la nuit, qu’il y a une décennie, et le choix se fait de plus en plus vaste. Au point de faire de quelques boites de nuit locales, un point de transit incontournable par les plus grands DJs internationaux. Il faut dire que tout y est, du nec plus ultra de la technologie du son et de la lumière, à la plus moderne des architectures et de la décoration, en passant par des programmes variés et aguicheurs. Parce qu’hormis la musique, les boites de nuit ont fait place au show. Il s’agit de ramener des danseurs étrangers pour assurer le spectacle. Ses adeptes en font un mode de vie décalé par rapport au modèle de société qu’est censé représenter le pays. Pour comprendre, il faudrait aller à l’une des soirées dont ne cessent de faire la réclame les radios et autres réseaux sociaux. D’abord, le constat est édifiant, les jeunes qui fréquentent ces endroits sont comme ramenés des plus grandes villes européennes, à l’instar d’Ibiza et autre Saint Tropez. A commencer par la manière de s’habiller jusqu’à celle de consommer, tout est surdimensionné. Du très court-vêtu au bizarrement apprêté. La pudeur, si elle donne l’impression d’être quelquefois respectée dans la rue, elle prend un sacré coup à l’intérieur des clubs nocturnes. Une fois les murs des discothèques franchis, l’habit s’affranchit. C’est peu dire. Même en plein hiver et par 5 degrés de température à l’extérieur, les jeunes sont très peu vêtus, ou d’une manière fantasque. Les jeunes hommes vacillent entre le look techtonik et celui de dandy, sans en avoir forcément les mêmes atouts. Comme si, le mot d’ordre était de faire de la concurrence aux plus occidentaux des clubs nocturnes. Mini-jupe, robes hyper décolletés et très moulantes, hauts à peine couvrants, jeans ultra serrés et tailles basses à profusion, coiffures en pétard ou blondeur attitude sont de mise. Autant dire que toute la panoplie de la Jet-Set attitude comme l’entend la communauté d’outre mer, est bien empruntée......lire l'article de Chiraz Kefi source Gnet
La saison estivale du clubbing vient de démarrer pour le grand plaisir des adeptes des nuits blanches et de la musique électronique. Cette année, comme celles qui ont précédé, les jeunes des grandes villes côtières vont se bousculer aux portes des discothèques réputées et autres bars antres des soirées branchées. Il y a, à peine une quinzaine d’années, seule une frange triée sur le volet de la société fréquentait ce genre d’endroits, aujourd’hui, le clubbing s’est vulgarisé. Des endroits qui ne ressemblent en rien à ceux que l’on côtoyait autrefois. D’abord en quantité, mais aussi en qualité. La Tunisie compte aujourd’hui beaucoup plus d’endroits où sortir la nuit, qu’il y a une décennie, et le choix se fait de plus en plus vaste. Au point de faire de quelques boites de nuit locales, un point de transit incontournable par les plus grands DJs internationaux. Il faut dire que tout y est, du nec plus ultra de la technologie du son et de la lumière, à la plus moderne des architectures et de la décoration, en passant par des programmes variés et aguicheurs. Parce qu’hormis la musique, les boites de nuit ont fait place au show. Il s’agit de ramener des danseurs étrangers pour assurer le spectacle. Ses adeptes en font un mode de vie décalé par rapport au modèle de société qu’est censé représenter le pays. Pour comprendre, il faudrait aller à l’une des soirées dont ne cessent de faire la réclame les radios et autres réseaux sociaux. D’abord, le constat est édifiant, les jeunes qui fréquentent ces endroits sont comme ramenés des plus grandes villes européennes, à l’instar d’Ibiza et autre Saint Tropez. A commencer par la manière de s’habiller jusqu’à celle de consommer, tout est surdimensionné. Du très court-vêtu au bizarrement apprêté. La pudeur, si elle donne l’impression d’être quelquefois respectée dans la rue, elle prend un sacré coup à l’intérieur des clubs nocturnes. Une fois les murs des discothèques franchis, l’habit s’affranchit. C’est peu dire. Même en plein hiver et par 5 degrés de température à l’extérieur, les jeunes sont très peu vêtus, ou d’une manière fantasque. Les jeunes hommes vacillent entre le look techtonik et celui de dandy, sans en avoir forcément les mêmes atouts. Comme si, le mot d’ordre était de faire de la concurrence aux plus occidentaux des clubs nocturnes. Mini-jupe, robes hyper décolletés et très moulantes, hauts à peine couvrants, jeans ultra serrés et tailles basses à profusion, coiffures en pétard ou blondeur attitude sont de mise. Autant dire que toute la panoplie de la Jet-Set attitude comme l’entend la communauté d’outre mer, est bien empruntée......lire l'article de Chiraz Kefi source Gnet