Ces hauteurs qui semblaient vides
Publié le 21 septembre 2009 par Ray
" Il était tard lorsque K. arriva. Une neige épaisse couvrait le village. La colline était cachée par la brume et par la nuit; nul rayon de lumière n'indiquait le grand château. K. resta longtemps sur le pont de bois qui menait de la grande route au village, les yeux levés vers ces hauteurs qui semblaient vides. "
Franz Kafka