Il y a des vidéos que je suis quand même obligée de diffuser. Quand on me dit « NPH, hôte des Emmy Awards » et « apparition du casting de Dr Horrible »… Que voulez-vous, mes chers non-lecteurs, je suis légèrement accro. Bien, et si en plus toute l’équipe de la webserie se ramène sur scène parce qu’elle a gagné le prix de « Special class – Short-format Live-action Entertainment Programs », hein… (pour rappel) :
L’équipe (et le mini discours de Joss Whedon sur les voies parallèles que peut prendre la création d’une série) :
Neil Patrick Harris qui reprend son rôle de Dr Horrible qui hack la soirée des Emmy, avec en guest-stars Nathan Fillion, Felicia Day et Simon Helberg. Respectivement le Captain Hammer, Penny et Moist dans la webserie.
Le timing était parfait. On redonne vie à une série qui méritait toute une multitude de récompenses avec un hôte qui… Bon bah, pas vraiment la peine que je blablate pendant 36 heures, hein, vous voyez où je veux en venir. NPH => Dr Horrible.
Ça tombe bien, les Emmy et NPH avaient mis l’accent sur le web, cette année (pouahahah) :
Ah, et comme Neil était THE HOST de la soirée, il fallait bien qu’il en passe par pousser la chansonounette. CHOSE FAITE (pour la rime). L’opening de la soirée (Put Down The Remote), c’était ça :
On notera – où pas pour ceux qui veulent pas, ils peuvent aller se manger des crêpes à la brasserie du coin – bref, on notera le petit sourire de Tony Shalhoub répondant au clin d’oeil de NPH, avec qui il a travaillé il y a dix ans sur la quasi-inconnue-en-France Stark Raving Mad. Que j’avais apprécié. Bah oui.
Si certains effets de la cérémonie étaient fadasses (qui a dit Queuhaaa? 30rock??? ENCORE? ? hein?) NPH est définitivement un chauffeur de salle des plus brillants – hype, peut-être aussi un peu – ces derniers temps. Et c’est tant mieux – pour le « hype » – (revoir sa prestation aux Tony Awards).
PS : pour voir les gagnants, c’est par là.