Au Maroc, quelque 3 000 personnes travaillent pour le marché français, elles seront 8 000 en 2011. En moyenne, un projet offshore informatique permet d’économiser 10 à 30% sur un budget initial non délocalisé.
La Fédération marocaine des technologies de l’information, des télécommunications et de l’offshoring (APEBI) vient de restituer les résultats d’une étude sur l’offshoring réalisée en partenariat avec l’IDC, groupe mondial d’intelligence de marché, de conseils, et d’évènements sur les marchés des TIC et des technologies grand public.
Cette enquête a été réalisé en janvier 2009 auprès de 225 directions des systèmes d’information (DSI) d’entreprises françaises, ayant déjà fait le premier pas de l’offshore au Maroc. Intitulée «les entreprises françaises de taille moyenne et l’offshore : enjeux et perspectives», l’étude montre que l’offshore pour la gestion des systèmes d’information, appelée dans le jargon des TIC Information Technology Outsourcing (ITO), est un phénomène qui continue à s’accélérer.
Bénéficiant d’une proximité géographique et linguistique avantageuse, le Maroc compte actuellement près de 3 000 personnes travaillant sur des prestations offshore réalisées pour des entreprises françaises dans le domaine des systèmes d’information. Et environ un tiers d’entre elles travaillent pour des entreprises considérées en France comme étant de «moyenne» taille (comprenant entre 1 000 et 10 000 salariés). On devrait compter plus de 8 000 personnes travaillant en 2011 sur des missions offshore venant de la France.
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source lavieeco.com