Payer pour l’horreur des autres

Jean Charest - © Hans Westerling (Flickr)

Le gouvernement Charest libéral (fédéraliste) a fait faire un déficit aux Québécois. Il veut que nous payons la note à 100 %, mais il a contribué à ce déficit, notamment en octroyant 306 000 $ de pension annuelle plus la prime de départ à André Cayé président d’Hydro Québec, pour qu’il libère son poste et bien d’autres postes ont été libérés de la même manière. Il a consenti des prêts sans intérêts et à bas intérêts, des tarifs d’Hydro réduits, des projets sous forme de PPP avec des compagnies hors Québec (argent hors de l’économie du Québec), des bonis faramineux aux fonctionnaires basés sur le rendement de la compagnie (Hydro Québec), augmentation de salaire à ses amis fonctionnaires entre 3 et 16 % en proportion de leur salaire. Il fait fit de l’argent dépensé pour ravoir l’argent que nous avons envoyé à Ottawa en impôts et plus de 40 milliards en points d’impôts. Ceci n’est rien en comparaison de ce qu’il nous en coûte pour fonctionner dans le système fédéral que Jean Charest et ses libéraux endossent.

Avec son inertie et son manque de protectionnisme pour le peuple du Québec qu’il représente, il n’a pas commercialisé le moteur électrique pour la voiture qu’Hydro Québec et Dassau ont conçu et donné à Thierry Vandal président d’Hydro Québec, attitrer des garages pour la vente de voitures électriques ainsi que la conversion. Il a préféré mettre sur la tablette le moteur électrique le plus performant du monde qui nous a coûté 232 millions ainsi que la batterie au lithium développée par une des filiales d’Hydro Québec et il a gardé la mine (appelé autrefois Québec Lithium) fermée, là où se trouve le plus riche filon au monde de lithium, à 50 milles de Baraude en Abitibi Québec.  Tout cela aurait stimulé notre économie, créé de l’emploi et évité un déficit.

C’est ce qu’on appelle payer pour l’erreur (horreur) de l’autre.

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