Boulevard Henri-Bourassa, secteur du Métro portant le même nom. À l’heure de pointe, trois autobus remplis à craquer déversent un flot ininterompus de passager sur un trottoir large pour a peine deux personnes cote à cote.
Au coin Laverdure, deux enfants marchent vers la garderie. Les autobus passent et les frolent à 50 km heure, un pas vers la gauche, une bousculade et c’est la mort instantanée. Un trottoir à peine capable d’accueillir deux personne de large et des véhicules passent à 50, parfois 70, voire 90 km heure à quelques centimètres de ces frêles humains. Partout, les commerces ferment. Qui voudrait aller faire ses courses dans un tel environnement ou la voiture est devenu un monstre qui bouffe la ville?
Rue Prieur, coin D’Auteuil, des centaines d’autos passent. Un vrai carnaval. D’ou viennent tout ces voitures? ou vont elle? Plusieurs semblent y passer pour éviter le trafic d’Henri-bourassa. résultat: une course folle pour traverser Prieur, au risque de nos vies. Chaque jour. Toujours sur Prieur, coin Grande-allée: Encore un accident, encore une voiture qui a brulé son stop et BANG!