Magazine Politique
Plus érotique que sexuel, mais savamment suggestif pour parler aux connaisseurs en contournant la censure. Une Rita Hayworth complètement "emballée" dans une robe fourreau et des gants infinis, le tout en satin noir, à effeuiller avec délicatesse tout en maîtrisant son impatience. Un parfum de sublime qui perdure même si le goût de sulfure s'est estompé. Une scène "sexe" par excellence qui vante la féminité toute puissante, manipulatrice, la fausse innocence sur commande en plus du petit brin de fraîcheur et du zeste d'ingénuité qui vont avec. En l'occurence, Vénus se prénomme Gilda.
Mes Petites Fables