“Les Condamnés – voient le Soleil levant
Avec une Volupté autre -
Car – lorsqu’il resplendira de nouveau
Ils doutent d’en être témoins -
L’Homme – demain – qui va mourir -
Ecoute l’Oiseau des Prés -
Car sa Musique émeut la Hache
Qui réclame sa tête -
Joie – pour qui le Soleil levant
Précède un Jour – Epris -
Joie – pour qui l’Oiseau des Prés
N’a qu’Elégie!”
(Emily Dickinson)