Quant au second, il devrait passer devant un juge d'instruction de Marseille, jeudi prochain. Le directeur de l'université quant à lui affirme n'avoir rien su d'un tel trafic et de ces tentatives de corruption. Pour l'heure aucun enseignant, personnel administratif ou responsable de l'université ne semble impliqué.
Le président de l'université, Laroussi Oueslati avait en août expliqué toute sa consternation dans cette affaire : « Je regrette que n'ayant pas pu mettre en évidence une quelconque malversation, ce soit les procédures de recrutement qui soient mises en cause ».