La ministre a ajouté : « Après le mouvement qui a perturbé un certain nombre d'établissements au printemps dernier, il n'y a pas eu d'évitement des universités par les bacheliers ». L'Unef, organisation étudiante, partageait cette inquiétude mais pas pour les mêmes motifs. En effet, l'organisation estimait que les dégradations de la vie étudiante (logement, finances, etc.) auraient été le principal motif de non-inscription à l'université.
Le ministère estime que cette année, le nombre total d'étudiants à l'université (tous cycles confondus) devrait baisser de 1,1 %. Les IUT eux devrait avoir 1 % d'étudiants en plus, les classes préparatoires 2,5 % en plus et les sections de techniciens supérieurs 0,3 % en plus. Des chiffres qui devront attendre la fin des dates d'inscription, fin octobre, pour être confirmés.