Dans une dizaine d annees les ours polaires ne seront pour certains qu'un vague souvenir,bientot ,on ne comptera plus les lions que sur une main dans le sud africain ,et maintenant le desastre ecologique touche les girafes!sans oublier d ailleurs le massacre des abeilles grace a la soi disant super technologie "humaine".
Treve de plaisanterie ,quand va s'arreter la betise humaine,car excusez moi mais en terme de sagesse ,aucun etre humain n'est de taille à en parler,et je precise bien aux quatres coins du monde!
Aucun nom ne sera pris en exemple ,qu'il soit chinois,thailandais français ,ou quoi que ce soit d'autre,on devrait modifier le prix nobel pour la paix ,
en prix nobel pour la survie de la planète
et je pense qu'on ne ferait pas beaucoup d émules ,
vu que personne ne fait rien et préfère laisser mourir la planète
en disant comme d'habitude:
bein pourquoi il le fait pas lui?
sauf que tres vite personne ne dira plus rien
vu que c est la nature qui créera elle meme ce fameux point de non retour!
La situation est grave, elle exige une réponse rapide si nous voulons sauver du désastre la réserve de Masai Mara", explique dans les colonnes du magazine Science in Africa Joseph Ogutu, responsable d'une étude sur l'évolution démographique des animaux sauvages dans la réserve. Depuis quinze ans, il recense les animaux et établit le lien entre la présence humaine et la disparition de certaines espèces sauvages.
Le cas de la girafe est le plus flagrant de tous. Entre 1989 et 2003, Ogutu a noté que 95 % d'entre elles ont disparu. Même constat pour les antilopes (– 76 %) ou encore les impalas (– 67 %). Une dégradation qui s'explique par l'augmentation de la présence humaine. En 1950, il y avait quarante-quatre villages masaïs traditionnels à la lisière du parc. En 2003, il y en avait 368. En s'installant autour de la réserve, les hommes cultivent la terre, élèvent du bétail et occupent l'espace réservé aux animaux sauvages, qu'ils chassent et tuent en dépit des interdictions.