Jackson Pollock---the key
Je me souviens d’erreurs des horizons meilleurs des odeurs des veilleurs des horizons de fleurs pour tout ça mon pays s’effarouche de nos nuits de ton coté cette petite mort d’un autre coté qui perle ses mots sans rien décoiffer sans rimeur
ô mon triste avenir te voilà seul te voilà loin déjà lui qui se meurt dans une pauvre mémoire j’irai cueillir d’autres coeurs si je trouve d’autres pas d’autres moi
la nuit qui se couche sans moi la vie qui s’écroule au présent la petite fille qui se voile la vie enfin où tout s’écoeure où tout ses pleurs il n’y a qu’une fin à la maladie les mots soudains ne veulent plus de lui et là il s’entoure de ses mains se referme sur la pluie ses drôles de gouttes qui font pousser les roses j’aimais bien avant
T’embrasser dans le soir me laissais un vent d’espoir
que me reste-t-il de nos avions des noces de papier des qui fleurent nos épées nos sabres-lui pour ça pour ça
je lasse la nuit je lasse mes mains et ici je mets le mot fin et son point dans ma gueule.