Sa vie a basculé en 1980 à la mort de son père. Il ne s’en remettra pas et va alors sombrer dans un alcoolisme ravageur. Pendant toutes ces années d’errance et de vagabondage, il ne cessera jamais de composer, de créer.
On comprend mieux pourquoi ce morceau hommage à son père, au son de sa Takamba (petite guitare sahélienne), ni triste, ni larmoyante est chargée d’autant d’émotions et de spiritualité.
A l’écoute après le break
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