Bonne nouvelle pour la gauche et la démocratie : le PS national a eu du mal à sortir de sa crise
de leadership mais cette phase semble s'achever. Plusieurs signaux importants redonnent crédibilité au PS. Trois bonnes nouvelles redonnent le moral aux socialistes et à la
gauche toute entière... Tous les démocrates doivent s'en réjouir.
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Pierre Regnault
La ville de Carcassonne est passée à gauche le week-end dernier, suite à une invalidation par le Conseil d'état. Ceci, après 26 ans de droite au pouvoir, est un véritable exploit signalé même par les médias de droite.
Cette victoire s'explique forcément par la qualité des candidats locaux emmenés par leur leader, le socialiste Jean Claude Pérez. Mais cela montre aussi de façon éclatante que les résultats des européennes ne se reproduisent pas du tout au plan local !
Certaines forces politiques devraient en tirer des leçons, à droite mais à gauche aussi.
Sarkozy et l'UMP seraient bien inspirés de redevenir un peu plus modestes. Il semble bien que certains sondages confirment cette réalité là... et commencent à faire réfléchir pas mal de monde dans les différents états majors politiques.
Malgré le livre, sorti comme par hasard à cette période, voulant refaire le congrés de Reims, les leaders du PS font bloc et parlent d'avenir. Ségolène Royal, malgré les pressions, a su résister et, elle aussi, prendre de la hauteur. C'est une seconde bonne nouvelle...
Le PS a vraiment engagé sa rénovation, le week-end dernier, en lançant sa consultation auprès des militants pour rénover le parti avec des propositions phares très importantes. Signalons en particulier le nouveau pas en avant pour limiter le cumul des mandats et l'organisation de primaires pour désigner notre candidat aux présidentielles, tout cela à la quasi unanimité ! C'est une troisième bonne nouvelle.
La presse, qui n'a pas ménagé le PS depuis quelques temps, est obligée de le signaler.
Oui, le PS est de retour. La reconquête de l'opinion est commencée. Bonne nouvelle !
Pierre Regnault
La ville de Carcassonne est passée à gauche le week-end dernier, suite à une invalidation par le Conseil d'état. Ceci, après 26 ans de droite au pouvoir, est un véritable exploit signalé même par les médias de droite.
Cette victoire s'explique forcément par la qualité des candidats locaux emmenés par leur leader, le socialiste Jean Claude Pérez. Mais cela montre aussi de façon éclatante que les résultats des européennes ne se reproduisent pas du tout au plan local !
Certaines forces politiques devraient en tirer des leçons, à droite mais à gauche aussi.
Sarkozy et l'UMP seraient bien inspirés de redevenir un peu plus modestes. Il semble bien que certains sondages confirment cette réalité là... et commencent à faire réfléchir pas mal de monde dans les différents états majors politiques.
Malgré le livre, sorti comme par hasard à cette période, voulant refaire le congrés de Reims, les leaders du PS font bloc et parlent d'avenir. Ségolène Royal, malgré les pressions, a su résister et, elle aussi, prendre de la hauteur. C'est une seconde bonne nouvelle...
Le PS a vraiment engagé sa rénovation, le week-end dernier, en lançant sa consultation auprès des militants pour rénover le parti avec des propositions phares très importantes. Signalons en particulier le nouveau pas en avant pour limiter le cumul des mandats et l'organisation de primaires pour désigner notre candidat aux présidentielles, tout cela à la quasi unanimité ! C'est une troisième bonne nouvelle.
La presse, qui n'a pas ménagé le PS depuis quelques temps, est obligée de le signaler.
Oui, le PS est de retour. La reconquête de l'opinion est commencée. Bonne nouvelle !
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