Comme vous le savez déjà, il m’arrive rarement de comprendre la mécanique philosophique des hommes.
Parfois aussi j’ai beaucoup de mal avec la mécanique philosophique féminine, par exemple :
Des médecins ont dit voilà plusieurs années qu’il était bon d’allaiter l’enfant. Ces mêmes médecins, une génération avant, conseillaient plutôt aux femmes de ne pas allaiter.
Bref, aujourd’hui, la science redit : allaitez ! Alors on allaite.
Elles déballent leur gros nichons laiteux à la barbe de tout le monde. La semaine dernière par exemple, samedi, il faisait froid. A la terrasse d’un café, une femme se faisait têter par son gosse, beurk, beurk, beurk et rebeurk. Ahhh. Ca me dégoûte, rien que de m’en souvenir.
Est-ce que j’ai été allaitée moi ?
Non.
Suis-je chétive pour autant ?
Non.
Il est hors de question, si jamais, j’ai un enfant un jour, que je prétexte d’avoir un marmot à nourrir, pour montrer mes seins dans la rue.
Je préfère dix mille fois être une putain, qui assume ce qu'elle est, qu'une petite bourgeoise connasse qui a besoin d'un chocolat-croissant chez Coquelicot (une boulangerie/salon de thé/concept campagne bobo à Paris, Abbesses) à quatre heures de l'après-midi, pour montrer mon cul.
Publié par les diablotins