Martine et Gilbert Michel ont eu l’excellente idée d’inviter leurs amis pour un méchoui dans leur domaine de Mourjaï. Une belle bande de copains sont arrivés avec tartes salées et sucrées , taboulé, toasts pour l’apéritif , fruits , Vin rosé et rouge , bref tout ce qu’il fallait pour accompagner le méchoui.C’est Saïd Benhamou qui était préposé à la cuisson du mouton. Après l’apéritif, il nous dit que le méchoui était à point. Grand moment de dégustation:le mouton était fameux !
Le méchoui est un mouton ou un agneau entier rôti à la broche sur les braises d’un feu de bois. Le mot tient son origine d’un mot berbère qui signifie « grillé à la braise » .
Après le mouton cuit à point, le repas se poursuit : fromage , salade de fruits avec crème Chantilly , tartes diverses et variées , café. Un festin en plein air. La météo annonçait des orages sur la région; heureusement il n’en a rien été !
Extrait de la “Monographie d’Ampus” du Commandant Laflotte - imprimerie Mouton à Toulon 1926 (page 11)
” Le menhir de Mourjaï nous a été signalé , en 1921, par un Dracénois, l’abbé Saglietto, curé de Signes. La pierre fut découverte abattue, vers 1875, au cours d’un défoncement par le propriétaire du terrain qui eut l’idée heureuse de la relever en bordure du champ et d’un chemin d’exploitation. C’est un bloc fruste anépigraphe, en calcaire conchylien détaché d’un banc resté longtemps exposé aux intempéries qui l’ont profondément strié sur le côté sud.
Le nom de Mourjaï ou Mourgaï semble indiquer une ancienne cella monacale, membre probable du prieuré de N-D de Villehaute. Ce nom est à rapprocher de Mourgues, nom français de Monaco, et de Munschen , Munich, du même sens originel.”