Un monument de diplomatie que Le Mague pointe : « Le Président du Cran se veut le défenseur de la jeunesse face aux caricatures des noirs dans la bande dessinée. On se croirait revenir dans les années d'après-guerre, en France, où les publications jeunesses étaient surveillées et contrôlées par des associations de famille, et quelques autres très proches de l'église, voir même la présence des curés. »
L'occasion pour Julien Allès, comme il sait si bien le faire de remettre une couche, et comme disait Coluche de refuser l'idée de racisme : la preuve, selon l'humoriste, il écrivait noir sur blanc.