Ce weekend sortait le très attendu Wild Angels de la très british Mary Anne Hobbs, une parfaite occasion donc de revenir sur la nouvelle expérience délirante ou peut-être pas tant que ça, de l’anglais Matthew Herbert.
En effet, c’est à l’abri des regards indiscrets que le scientist nous prépare un album uniquement constitué de bruits de cochons. De sa naissance à son passage par l’abattoir, en passant par une éventuelle procréation avec de charmantes Peggy (Mary where are youuuu ?)… Mais ce n’est pas tout, car comme il l’annonce lui même sur son blog, les restes du cochon seront ensuite utilisés pour confectionner des paires de chaussures, des percus, un grand festin, mais aussi de l’encre… Pourquoi pas ?
Et, comme cela ne lui suffisait pas, il nous prépare en parallèle une autre expérience, qui aura lieu le 30 septembre au club Robert Johnson de Frankfurt, consistant à enregistrer l’espace d’une soirée tous les bruits du club (du dring de la caisse aux bruits des chiottes)… Pourquoi pas ?
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