A la nuit noire
Quand l’oeil lunaire
Ne regarde pas
Les forêts aux mille mâts
Lèvent l’ancre
Et
Imperceptiblement
Dans d’inimaginables musiques
Bercent leurs oiseaux
Jusqu’au vrai
Bout du monde.
(Gilles Brulet)
A la nuit noire
Quand l’oeil lunaire
Ne regarde pas
Les forêts aux mille mâts
Lèvent l’ancre
Et
Imperceptiblement
Dans d’inimaginables musiques
Bercent leurs oiseaux
Jusqu’au vrai
Bout du monde.
(Gilles Brulet)