« Mais il existe aussi cette ouverture au monde lui-même, cette capacité de marcher sur un sol ferme sans vaciller, cet accord à la pierre, à la plante, au trottoir. On voudrait réhabiliter «l'urbanité», nous inciter à plus de courtoisie, au respect d'autrui. S'il s'agit d'une vertu qui irait au-delà d'une civilité formelle, elle doit s'inscrire à l'intérieur d'une relation plus large de politesse que nous entretiendrons à l'égard de la création. »
Sansot, Pierre. (1983) Variations paysagères, Paris:Klincksiek, p.18