« Il est vrai qu'un paysage peut s'exposer d'une double approche. D'une part il se structure, il s'organise, il se refuse à moi dans son originelle altéré, il se singularise par des signes qui nécessitent la plus grande attention. D'autre part, il «s'atmosphérise», il devient une vibration, une odeur, une émotion unique, il se mèle à moi comme s'il n'était pas distinct de moi. »
Sansot, Pierre. (1983) Variations paysagères, Paris:Klincksiek, p.30