Elsa’s Anatomy

Bonjour…

Comment ça “qui je suis?”. La vache vous êtes gonflés quand même, faudrait voir à pas trop user de la mémoire d’éléphant en ce qui concerne le laxisme qui prédomine en ce domaine (le boudoir quoi).

Je vous écris les péquenots, parce que tu vois pas que j’en suis rendu à l’état protozoaire pour cause de laryngite infectieuse, qu’on m’a lockée en quarantaine dans mes pénates jusqu’à ce qu’infectieuse je ne sois plus.

Autant dire qu’un ennui peu commun règne dans mon esprit, tellement le sort s’acharne. Imagine-toi que même pas je peux surfer sur les sites d’octogénaires femelles en guêpière tout en mangeant des Pim’s à l’orange sanguine, because l’antivirus vient de se faire la malle et que je cours le risque de me prendre un Worm ou un Cheval de Troie pleine gueule.

Condamnée à faire des FreeCell jusqu’à ce que mort par combustion spontanée s’ensuive.

J’ai bien tenté de noyer le temps en m’oignant d’Huile Prodigieuse Nuxe mais j’ai pas encore le métrage carré de surface corporelle de Guy Carlier, ça m’a pas pris la matinée.

J’avais donc décidé d’aller faire chauffer la Gold sur Monshowroom et autres sites tentateurs, mais le coeur, qui est plutôt nauséeux, n’y était pas.

C’est là que l’épiphanie eut lieu.

J’eus un blog, back in the days!

(ouais je sais: ouf dans toutes les grandes largueurs équilatérales)

Je vous laisse, travailleurs en Friday Wear pendant que j’emplis un legging de 4 ans d’âge transparent à l’entre-jambe, j’ai 2 litres de thé à absorber.

C’est qu’en plus, je cumule avec une cystite.

Call me Lucky.