Un café pendant que le rice cooker anticipe le pique-nique que prépare tout seul un des deux gamins, du calme, du soleil, de la chaleur timide mais de la chaleur quand même.
Même le montage du porte-vélos n'a pas posé de problèmes pour une fois. J'ai enfin trouvé une façon logique et sûre de le faire tenir à l'arrière de la bagnole. Un coin de campagne bien trouvé, avec toutes les images d'Epinal qu'il faut : rivière, pont de pierre, arbre au pied duquel une nappe a carreaux est étalée, des assiettes en plastique, un repas à 3 et personne, absolument personne pour déranger ce moment super simple. Un livre lu allongé dans l'herbe, un livre déjà lu par quelqu'un d'autre qui tient à ce que je sache ce qu'il y a dedans.
Ballade en vélo, la barre du porte-vélo en pleine poire en refermant le coffre, une coupure sous l'oeil et deux bosses. Bref.
Retour au bercail, ménage fait la veille et odeur accueillante, les jambes un peu lourdes mais la satisfaction d'avoir un peu retardé le moment d'en rallumer une, et un petit mot par ici, parce qu'il manque un petit truc à tout ça. Celui de ne partager ça qu'avec eux.
Pas grave.
Publié par les diablotins