Brisingrr
Résumé : Eragon a une double promesse à tenir : aider Roran à délivrer sa fiancée, Katrina – prisonnière des Ra’zacs –, et venger la mort de son oncle Garrow. Saphira emmène les deux cousins jusqu’à Helgrind, les Portes de la Mort, repaire des monstres. Or, depuis que Murtagh lui a repris Zar’oc, l’épée que Brom lui avait donnée, Eragon n’est plus armé que du bâton du vieux conteur.
Tandis qu’il veille au pied de la sinistre citadelle, Eragon s’interroge : viendra-t-il à bout des Ra’zacs ? Il est vrai que, depuis la cérémonie du Sang, à Ellesméra – la cité elfique –, le jeune Dragonnier continue de se transformer, acquérant peu à peu les traits et les fabuleuses capacités d’un elfe. Et Roran mérite plus que jamais son surnom de Puissant Marteau. Quant à Saphira, elle est une combattante redoutable…
Extrait : "Je suis un faible, songea Eragon. Un homme ne devrait pas se torturer de la sorte. Et surtout pas un Dragonnier. Je suis sûr que Garrow et Brom n'auraient pas eu ce genre de crise. Ils faisaient le nécessaire, un point c'est tout. Pas de larmes, pas de remords, pas de grincements de dents ni d'autoflagellation... Je suis un faible."
D'un bond, il se releva, arpenta le périmètre de son nid dans l'herbe et tenta de se calmer. Au bout d'une demi-heure, l'angoisse le tenaillait toujours ; il était oppressé, tout son corps le démengeait comme si des milliers de fourmis rampaient sous sa peau, il sursautait au moindre bruit. De guerre lasse, il reprit sa hotte et s'en fut aussi vite que ss jambes pouvaient le porter. Peu lui importait ce qui l'attendait dans les ténèbres de l'inconnu ou qu'on le voie courir comme un fou.
Il fuyait ses cauchemards. Son esprit se révoltait contre lui, la raison était impuissante à dissiper sa panique. Il n'avait plus qu'un recours : faire confiance à l'instinct ancestral, à cette sagesse animale de la chair qui lui enjoignait de bouger. S'il courait assez vite, y mettait toutes ses forces, peut-être parviendrait-il à s'ancrer dans l'instant. Peut-être que le balancement de ses bras, le choc de ses pieds sur le sol, la fraîheur moite de la sueur sur son dos et une myriade d'autres sensations l'obligeraient à oublier.
Peut-être.
Critique : Mais c'est quoi cette histoire soporiphique ? L'histoire en un mot : nule. On se demande vraiment pourquoi ce livre fait autant de pages si ce n'est pour rendre Christophe Paolini encore plus riche...
Enfin bon bref !
Vous apprenez pourquoi le livre porte ce nom au bout de la 750ème pages donc sur 780 pages je vous laisse imaginer la déception. Et lorsqu'enfin vous connaissez sa siginification vous êtes déçus que ça ne soit que ça.
Ce livre n'est qu'une épaisse tartine de description qui vous donne mal à la tête.
La grande bataille que vous attendez ne dure que 5 pages environ ce qui est déjà plus que la majorité des batailles qui n'en font généralement pas plus d'une.
Vous avez aussi et c'est quand même le plus gros problème qu'il y ait dans cette histoire : une incohérence avec ce qui est dit dans le premier volume.
Dans le premier volume vous apprenez que si un dragonnier meurt alors son dragon meurt avec lui, alors que si le dragon meurt le dragonnier doit vivre avec sa douleur toute cette vie.
Dans ce volume l'histoire change. Le dragon ne meurt plus. Il peut aller se venger de celui qui a tué son maître.
Si vous voulez vous passé de ce livre vous pouvez et je vous le conseille formtement. Si vous ne le lisez pas vous pourrez ainsi gagner du temps.
L'histoire n'avance pas tellement dans ce livre et vous vous demandez si un jour Eragon va enfin combattre Galbatorix.
Ce que je vous conseille c'est d'attendre le 4ème volume de cette saga (qui devait être une trilogie à la base) et de lire le résumé qui se situera au début et vous provoquera la même sensation que cet ouvrage.
Un livre dont vous pouvez vous passer.
Auteur : Christopher Paolini
Editeur : Bayard Jeunesse
Pages : environ 800
Prix : 21,90 €