regarde,
à l’horizon où s’éteignait les collines,
le cheval
son rire bruyant,
sa chevelure-oriflamme.
il gambade
dans les prairies de la mémoire,
comme un rêve longtemps reclus
qui trouve enfin la nuit propice.
(Tahar Djaoui)
il gambade
dans les prairies de la mémoire,
comme un rêve longtemps reclus
qui trouve enfin la nuit propice.
(Tahar Djaoui)